Recherche par auteur : Zschokke, Matthias
5 résultats.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 57min.
Genre littéraire : Nouvelle
Numéro du livre : 20115
Résumé:Matthias Zschokke : berlin, l'éternel faubourg Berlin, l'éternel faubourg est le premier des trois récits contenus dans cet ouvrage. Il pourrait constituer une réponse, en pied de nez, aux critiques littéraires ayant exprimé leur désir de lire enfin le roman du siècle sur Berlin. Car si ce texte concerne bien cette ville, il le fait avec une irrévérente légèreté, et glisse, l'air de rien, sur les sujets sensibles de l'actualité berlinoise. C'est que Matthias Zschokke, écrivain, dramaturge et cinéaste, Berlinois depuis plus de vingt ans, n'est pas porté sur les grands thèmes à la mode. Mais il sait enchanter le lecteur avec ses mélanges de profondeur et de légèreté, teintés d'une mélancolique espièglerie.
Lu par : Françoise Dufour
Durée : 8h. 52min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 17811
Résumé:Amman, Budapest, Baden-Baden, Saint-Luc, New York, et en entrée, Berlin. De la ville omniprésente dans son oeuvre, Matthias Zschokke nous entraîne dans le vaste monde. Fidèle à son sens de l'observation et à son regard plein d'humour et d'empathie, il se propose de nous guider, au gré de ses pérégrinations, de mégapoles en coins perdus, sautant de l'un à l'autre tout en prenant le soin de relier, par les mots et la mémoire, des endroits qu'à priori tout oppose. Plus que le voyage, c'est le génie des lieux qui l'intéresse, comme des personnages qui se révèlent peu à peu. Et même si le lecteur peut puiser dans cet ouvrage quelques bonnes adresses, il s'agit avant tout ici de littérature. La subjectivité et la poésie qui habitent cette mosaïque de petits récits ne laissent aucun doute sur la nature de cette invitation au voyage d'un genre très particulier.
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 5h. 9min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 71418
Résumé:Berlin, début des années 1990. Le héros de Matthias Zschokke, un gros poète débonnaire, croit devoir écrire le grand roman de la capitale allemande réunifiée. Mais ce n'est pas son registre. Il préfère quand rien ne se passe, les histoires ordinaires qui révèlent nos failles et celles de la société. Pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, pour obéir à un petit elfe insatiable qui le supplie de lui raconter "quelque chose de beau", il convoque des souvenirs d'enfance, décrit son travail vain et quotidien, s'inquiète du temps qui file. Puis, il en meurt, sans faire de bruit. Dans ce roman paru il y a 25 ans perce déjà la profonde mélancolie de Matthias Zschokke. À sa manière incomparable, élégante et allusive, il interroge le roman engagé, la réussite sociale, le couple, la sexualité enfantine, tous thèmes dont l'actualité n'est pas à démontrer.
Lu par : Claude Fissé
Durée : 8h. 34min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 16611
Résumé:Tout le monde n'a pas la chance d'avoir un destin. Maurice, écrivain public en mal de clients, se trouve insignifiant, terne, inintéressant. Il vivote sans élan dans le quartier nord-est de Berlin, repaire délabré de tous les cabossés et autres spécimens du malheur de l'existence, et quand ce solitaire paresseux ne passe pas son temps boulonné à son bureau, à ne rien faire, il pioche des nouvelles dans le journal, écrit à un ami de Genève, cherche des mots dans le dictionnaire, se met à la fenêtre où son regard - à l'instar de son âme, tout aussi vacante et disponible - peut dériver à loisir dans le vide et se perdre de façon tout aussi aléatoire dans son environnement immédiat.
Lu par : Yette Perrin
Durée : 4h. 38min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 4550
Résumé:"Max est devenu acteur. Mais il ne l'est plus depuis longtemps. Le théâtre est un pays froid. D'innombrables fois, il a tenté de le quitter. Il se tenait à l'arrière de cet iceberg, à moitié dans l'eau, car pour quitter l'esquif, il faut se tenir au bord. Du regard, il cherchait des possibilités plus aimables, et quand quelque chose apparaissait dans le lointain, il fléchissait les genoux, prêt à sauter, plein d'espoir, mais ça n'en valait jamais la peine car les autres icebergs étaient très ressemblants, et ainsi il tendait, il détendait, tendait, et entre-temps il attrapa un sérieux rhume."